« Maverick Adonis Elroy »

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Je m'appelle Maverick Adonis Elroy, mais appelle moi Maverick, c'est un conseil ! Je suis né le quatre mai mille neuf-cent quatre-vingt-dix, j'ai donc vingt ans si tu sais comptés. Je suis d'origine Australienne, je suis né à Canberra si tu veux tout savoir et je fais partit du groupe " We are golden, we are fabulous ", non mais tu pensais vraiment que tu me verrais ailleurs ? Je suis riche et je l'assume totalement, je déteste mes géniteurs, mais par chance ils étaient riche, ça comble ce qu'ils m'ont fait, vous ne trouvez pas ? Si vous voulez en savoir plus sur moi, vous n'avez qu'à suivre mon histoire, je suis sûr qu'elle va vous plaire.

« please, tell me a fairy tale »

[size=18]Si j'avais une tumeur, je l'appellerais papa !

Mon enfance est l'une des plus merdiques qui soit, je pense même que ma mère en me voyant a voulu me remettre dans le trou et puis mon père n'est pas mieux, il n'était même pas là à ma naissance, non, il était en train de décuvé dans une rue Londonienne. On ne choisis pas sa famille après tout. Ma mère n'a jamais été là pour moi, elle travaillait tellement, je n'étais pas sa priorité, j'étais plutôt le contraire pour elle, je mettais un frein à sa carrière et elle m'en voulait terriblement pour sa, comme-ci j'avais demandé de naitre moi, j'aurais préféré ne jamais voir le jour ! Mon père lui était la plupart du temps ivre, quand il rentrait à la maison on ne l'entendais pas parler, mais tapé contre les murs parce que le propriétaire du bar ou il va continuellement se saoulé, ne voulait plus lui faire crédit et refusait de le servir, alors il s'en prenait à moi en me tapant dessus. Non, pour lui je n'étais pas son enfant, il ne me considérait pas comme le fruit de sa chair, j'étais un accident, un trou dans une capote, un oubli de pilule, une envie de baise sans protection, tout sauf le fruit de l'amour. Je détestais mes parents, il était rare que je leur adressait la parole, si c'était le cas, je les insultais, je me moquais d'eux et je leur foutais en pleine tronche leur putain de défaut de père alcoolique et de mère indigne. Je ne voulais pas vivre chez eux, alors je fuguais de temps en temps, je n'avais que sept ans et je partais de chez moi sans prévenir personne, de toute façon, j'aurais très bien pus leur dire qu'ils n'auront rien remarqué, ils ne pensaient qu'à eux, on ne devrait pas leur laissé la garde d'un enfant, ils ne savent même pas s'occuper d'eux même, comment voulez-vous qu'ils réussissent à élevé un enfant. Un jour, une assistante sociale, prévenue par des voisins, était venue à la maison pour voir comment se déroulait les choses. C'est moi qui lui avait ouvert la porte parce que mon géniteur était allongé par-terre, ivre mort et ma mère n'était pas à la maison pour ne pas changé. L'assistante sociale n'avait pas besoin d'en savoir plus, elle voyait comment j'étais habillé et les bleus que j'avais un peu partout sur le corps, elle voulait m'emmener avec elle, dans une famille d'accueil surement. Étrangement, je ne voulais pas partir avec elle, je ne voulais pas rester avec mon alcoolique de père non plus, j'étais perdu dans ma tête, mais je me suis laissé faire et je l'avais suivis.

Sexe ; drogue ; alcool ; farine dans les narines . Le p'tit 'Rick est devenu accroc à la cocaïne .

Qui a dis que la vie est comme une boite de chocolat ? Mettez cette personne en face de moi que je lui explique à quel point la vie pue la merde. La vie pue autant que cette menteuse d'assistante sociale qui m'avait promis de me trouvé une famille d'accueil. Je m'en fiche pas mal de sa famille d'accueil, je ne veux pas de famille, j'en veux plus. Je veux vivre par moi-même, je ne veux plus être sous les ordres de quelqu'un, je n'ai besoin de personne, je sais très bien mené ma vie seul. Je n'ai jamais été à l'école et pourtant j'ai bientôt huit ans, mes géniteurs n'avaient pas ressentit le besoin que j'ai une éducation scolaire, j'avais appris à lire et à écrire tout seul, mais j'écrivais très mal pour un enfant de mon âge et je peinais à compté, je ne connaissais pas mes tables de multiplication comme tous les autres enfants, mais je connaissais la vie et tu n'as pas besoin de savoir tes tables de multiplications pour t'en sortir. La première fois ou j'ai été à l'école, je n'étais pas comme les autres et ça ce voyait, j'avais confiance en personne et j'étais très sauvage, je me battais tous le temps, pour un rien, ce sont les signes d'un enfant maltraité, mais personne étaient au courant. Je suis un garçon comme tous les autres, voilà ce qu'on me répétait la plupart du temps, mais je n'étais pas comme tous les autres et je ne voulais pas ressemblé à ces pantins, ils faisaient tout ce qu'on leurs disaient, moi personne me donnait d'ordre. Le collège était une étape sans importance pour moi, je détestais déjà les cours, je les séchais d'ailleurs, mais je passais toujours mes classes, je n'ai jamais redoublé une fois, on pensait de moi que j'étais un cancre, mais non, j'avais des bonnes notes et c'est ce qui m'aidait beaucoup. Je me faisais aussi renvoyés de plusieurs établissement parce que je répondais, je tapais, je provoquais, je faisais tout ce qui était interdis. C'est aussi au collège que j'avais fumé mon premier joint, qu'elle extase, je ne peux plus m'en passer désormais. J'avais treize ans et j'étais accroc au joint, je ne le cache pas et j'en ai aucune honte, le problème est que sa coute cher, mais je m'en fout, on en trouvais un peu partout et plus ou moins cher. Le collège c'est aussi la ou j'ai eu ma première relation sexuel avec une fille de trois ans de plus que moi, ce n'était pas le grand amour, mais qu'est-ce que c'était bon et ça n'avait pas l'air de lui déplaire, je m'en étais bien sortit pour le puceau que j'étais. Je voyais le copain de la fille autrement, quand il était avec elle je riais intérieurement parce que je me l'étais faite et que je n'étais surement pas le seul à être dans ce cas. Mes années lycée avaient été plus mouvementé, les filles s'enchainaient tout comme les rails de poudre blanche que je prenais. Ce n'est plus un secret, tous le monde me connais, tous le monde sait que je ne suis pas une bonne fréquentation et honnêtement, je les emmerdes un par un tous autant qu'ils sont. Je me tape les plus belles filles du lycée, j'ai même faillit être père à dix-sept ans, mais elle a avorté, enfin je les obligés parce que cette folle elle voulait gardé l'enfant. Je n'ai jamais eu de bonne relation avec les gars, sauf avec ceux qui étaient comme moi, qui me comprenait. Parce que je n'étais pas si différent, j'avais juste mes problèmes et mes solutions.

Je baiserais la Terre jusqu'à ce qu'elle m'aime

Me voilà maintenant à l'université, dans la cour des grands, là ou plus rien ne me retient. C'est bien à l'université ou le sexe, l'alcool et la drogue prime et bien je pense que je vais bien m'y plaire ici. Toutes ces années d'études ne seront pas inutiles, elles m'ont amenés ici, dans une université remplie de jolies filles, d'alcool et de drogue, même si les personnes qui constitues l'assemblée du règlement de cet établissement disent que rien de grave ce passe à l'université, on connais tous la vérité. Je n'aime pas parlé de mes cours, alors je vais vous passé ce détail qui ne sert à rien pour être franc, je ne vais pas non plus vous parlez des filles avec qui j'ai couché, non, il y en aurais tellement que ça n'en finirais pas, en faite, je ne sais pas de quoi vous parlez. Ma vie est palpitante, mais impossible à décrire, je n'ai jamais rien connu de sérieux, ni filles, ni parents, ni amis, ils sont tous pour moi des tremplins sur qui je rebondis pour atteindre le sommet. Si je suis manipulateur ? c'est vrai et je ne le cache pas, je suis aussi profiteur et je n'aime personne, j'ai aucun remord quand je fais du mal à une personne, aucun état d'âme, je ne suis pas pour autant dépourvue de sentiment, j'ai connu la haine, la colère, la rancoeur, l'ignorance et j'en passe. Je m'acceptes comme je suis et si je ne plais pas aux autres, ce n'est pas mon problème. Je ne suis pas le capitaine d'une équipe de foot et j'en ai rien à faire, je me tape quand même les pompom girls, je ne suis pas un joueur invétéré d'échec et je m'en fout, je ne suis pas un petit intello, je ne suis pas le caïd de l'établissement, je ne suis pas le gothique de service ! Je suis moi, le gars qu'on déteste, le gars qui plais aux filles malgré que mon comportement avec elles les dégouttes, je suis le gars qu'on a envie de voir crevé d'une overdose, je suis le gars qui dans ton rêve t'en met plein la tronche, je suis le gars que tu ne pourras jamais atteindre, voilà ce que je suis. Je connais une fille avec qui je pense que c'est sérieux, j'éprouve des choses pour elle, mais je ne sais pas si c'est réciproque et je ne risque pas de lui en parler. Elle s'appelle Luan et c'est très fort entre elle et moi, c'est même vraiment physique, je ne sais pas quoi faire pour elle. Ma relation est compliqué parce que je suis en couple avec elle, mais j'ai aussi le droit d'aller voir ailleurs, oui je l'aime, sinon je ne serais pas avec elle, mais je ne vais pas m'arrêter de vivre pour elle, je sais en plus qu'elle fait pareil, je lui empêche rien. Ça va faire un an que je suis avec elle et c'est toujours la même chose, vous pensez que ça va changé un jour ou l'autre ? En tout cas, moi je suis très bien comme sa.

« behind your computer »

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